Français: thèmes,méthodes X.Baux

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synthèse internet & démocratie (5 doc dont 2 visuels)

Plan : synthèse internet et démocratie.

1.       Internet moyen d’expression politique.

Internet est un moyen d’expression essentiel (3), il permet aux mouvements politiques une expression rapide et difficilement canalisable par les pouvoirs en place. Que cela soit dans le cadre de révolutions contre des dictatures (2) ou dans le cadre de mouvements qui se développent dans les pays démocratiques comme ceux des indignés de la puerta del sol (1). 

Internet permet à la fois de se développer vite (1) ou d’échapper au pouvoir en place en restant le seul moyen d’expression (2). D’ailleurs, il n’y pas d’antivirus contre la liberté et le numérique devient un moyen citoyen ((4) & (5).

2.       Une liberté parfois limitée.

Toutefois, internet ne doit pas être confondu avec le réel (1), ni être considéré comme acquis (2). En effet les entreprises des pays dits démocratiques sont parfois compromises dans des accords douteux, voire des dénonciations avec les pouvoirs autoritaires ou dictatoriaux (3). Internet est-il un vrai moyen d’expression démocratique ? Le dessin 5 laisse l’ambiguïté…

Rédaction 1.

Internet a été au centre des processus politiques qui ont animé les évènements politiques récents, que cela soit en Chine ou dans les pays arabes. Quel rôle joue désormais le web comme instrument de démocratie dans le monde ? Cinq documents récents, dont deux illustrations illustrent cette question. Il nous permettrons de voir que si l’internet est désormais un vrai moyen d’expression, il a cependant d es limites.

 

Internet nous rappelle les blogueurs de la revue de presse présentée en document 3 est maintenant un moyen essentiel d’action politique.. De fait, il permet aux citoyens de se retrouver et de développer vite leurs mouvements. Ainsi, dit la dépêche AFP du document 1, les indignés de la Puerta del  Sol à Madrid ont trouvé à travers le web des soutiens rapides et en nombre. Dans les pays dictatoriaux, internet est parfois le seul moyen de communication. Son rôle est alors extrêmement important comme dans le cas du renversement du dictateur Kadafi en Lybie comme le souligne dans la dépêche AFP du document 2 le PDG de Google. C’est la raison  pour laquelle Internet effraie les dictateurs comme le montre la caricature de Dilem qui suggère qu’il n’y pas d’antivirus contre la liberté…(4). D’ailleurs internet pourrait devenir un moyen d’expression citoyenne directe comme le laisse penser l’illustration du document 5.

 

Toutefois internet n’est pas un moyen parfait ou infaillible. D’abord parce que le soutien des internautes n’est pas forcement un soutien réel ou concret : les indignés espagnols aimeraient aussi être soutenus dans la rue…(1), De plus les pouvoirs dictatoriaux cherchent à contrôler, à réduire le web voire à enfermer les cyber-opposants et, hélas, ils le font souvent avec la complicité d’entreprises américaines qui jouent sur un vide juridique afin de se soumettre à la pression des pouvoirs autocratiques comme celui du gouvernement chinois. Ainsi nous signale la revue de presse du document 3, un opposant chinois  a sans doute été dénoncé par Yahoo…D’ailleurs si internet fait peur aux dictateurs, est-il un vrai, un authentique moyen d’expression et de vote ? Le document 5 nous laisse sur une ambiguïté…

 

 

 Rédaction 2.

Si  Internet est désormais un enjeu politique, il le doit en partie à l’utilisation qu’en font désormais les indignés ou révoltés du monde entier. Quel est toutefois l’apport du web aux mouvements de la démocratie ? Cinq documents dont deux dépêches de l’AFP et deux illustrations se penchent sur ce thème et nous conduiront à évoquer internet comme moyen d’expression politique avant d’en voir les limites.

Avec Internet les mouvements politiques trouvent un moyen de développement extraordinaire comme se fut le cas à la fois dans un contexte démocratique pour les indignés de la jeunesse espagnole et, dans un contexte plus violent, pour les révolutionnaires de Lybie dans le renversement de Kadhafi, c’est ce que soulignent  les dépêches AFP constituant les documents 1 et 2. D’ailleurs dans les pays soumis à la dictature, internet est parfois le seul moyen d’expression des opposants et ce n’est pas un acquis définitif comme on pourrait le croire en démocratie. Le PDG de Google et son responsable marketing soulignant la place prise par Facebook dans le mouvement égyptien, nous le rappellent (2). Internet fait peur aux dictateurs et devient une forme de vote (4 et 5)…

 Pourtant, il y a des limites, voire des dangers : ainsi le soutien sur facebook n’est pas forcement suivi d’un soutien direct dans la rue (1) même s’il offre un forum inédit. Surtout, les entreprises occidentales se mettent parfois au service des dictatures ou pouvoirs autoritaires pour filtrer, contrôler internet. Ces compromissions fondées sur des vides juridiques ou des hypocrisies commerciales, au grand dam des associations de droits de l’homme (3) permettent, sous couvert « d’autodiscipline » de protéger des intérêts d’état antidémocartiques, et même, comme ce fut le cas en chine, de favoriser l’arrestation des opposants. S’il n’y a pas d’antivirus contre les révoltions comme le suggère Dilem (4), il n’est pas sûr non plus, qu’un simple clic constitue un vrai engagement politique (5)…

 

 X.B

 



22/02/2013
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